À 3 jours de l’élection du nouveau président de la FIFA, la lutte entre les différents candidats fait rage. Une institution gangrenée par la corruption, des candidats pas tous blancs non plus, le scrutin risque d’être agité ce vendredi 26 février.
Une situation qui inquiète évidemment les amateurs de football, lassés par cette gestion pourrie de l’institution mondiale, mais aussi jusqu’aux plus hautes sphères des pays membres. Alors que certains chefs d’État ont pris position pour leur favori, en Algérie on est plutôt dans la mesure.
C’est ainsi que notre président, le bien-aimé Abdelaziz Bouteflika, a tenu à souhaiter bon courage aux candidats à la présidence, en réclamant « la fin des affaires de corruption et pot-de-vins qui entachent la réputation du football mondial », et a souhaité que cette élection « se déroule de manière démocratique et dans la transparence la plus totale ».