Malgré des statistiques stratosphériques sous le maillot Nerazzurro (10 matchs, 1 but), la raison de sa mise à l’écart semble relever du domaine extra-sportif. En effet, selon une source très bien informée (un commentaire posté sur DZFoot), Ishak aurait été viré à cause de sa religion.
Son entraîneur, Walter Mazzarri se serait plaint à plusieurs reprises de la pratique religieuse de son avant-centre. « Ishak veillait très tard pour prier toute la nuit, du coup il avait du mal à se réveiller le matin pour aller à l’entraînement. Parfois aussi, durant les consignes du coach avant les matchs, il écoutait du Coran sur son téléphone. Mazzarri était très en colère et a arrêté de le convoquer, c’est de la hogra envers les algériens » nous a indiqué notre source, un algérien résidant à Milan.
À Parme, il retrouve Ghezzal
Le point de rupture a été atteint lorsque Belfodil s’est rendu au pèlerinage à La Mecque. « Les dirigeants ont eu très peur qu’il se radicalise, et quand ils ont entendu toutes ces histoires d’État Islamique … ils craignaient qu’Ishak quitte l’Inter pour rejoindre Daesh durant le mercato. C’est pour ça qu’ils l’ont prêté à Livourne » a ajouté notre source.
Les dirigeants de l’Inter ont ensuite choisi de revendre 50% des droits du joueur à Parme, son ancien club, en gardant une option de rachat. « Ils l’ont renvoyé à Parme pour qu’il puisse rejoindre son compatriote, Abdelkader Ghezzal, qui est le seul capable de l’écarter de la religion » toujours selon notre source.